Jeu 10 Fév 2022 - 20:54 par kadermaz
Texte à mettre à la forme active
Iqbal-Mashy est né au Pakistan en 1983. À l’âge de 4ans, il est remis en gage à un fabricant de tapis et il est obligé de travailler pour rembourser une dette qui a été contractée par sa famille.
De 4 à 10 ans, il est forcé à travailler de 10 à 12 heures par jour. Il est mal nourri, il est maltraité et il est même privé du soutien des siens.
Après six années d’exploitation, il est libéré grâce à une association humanitaire. Iqbal porte en lui une rage, une révolte, mais il a soif de vivre.
Il ose parler et dénoncer les conditions d’exploitation des enfants. « N’achetez pas de tapis qui sont fabriqués par les enfants», répète-t-il sans cesse.
Il est invité dans divers pays pour raconter son histoire et témoigner pour tous les enfants qui ont connu les mêmes souffrances que lui et dont il devient le porte-parole.
Depuis, sous la pression internationale, des dizaines de fabriques de tapis ont été fermées par le gouvernement pakistanais, et les ventes de tapis ont baissé de plusieurs millions de dollars dans ce pays.
Iqbal n’a connu que deux ans de liberté. Rentré chez lui, au Pakistan, il a été assassiné le 16 avril 1995, à l’âge de 12 ans.
Iqbal-Mashy est né au Pakistan en 1983. À l’âge de 4ans, il est remis en gage à un fabricant de tapis et il est obligé de travailler pour rembourser une dette qui a été contractée par sa famille.
De 4 à 10 ans, il est forcé à travailler de 10 à 12 heures par jour. Il est mal nourri, il est maltraité et il est même privé du soutien des siens.
Après six années d’exploitation, il est libéré grâce à une association humanitaire. Iqbal porte en lui une rage, une révolte, mais il a soif de vivre.
Il ose parler et dénoncer les conditions d’exploitation des enfants. « N’achetez pas de tapis qui sont fabriqués par les enfants», répète-t-il sans cesse.
Il est invité dans divers pays pour raconter son histoire et témoigner pour tous les enfants qui ont connu les mêmes souffrances que lui et dont il devient le porte-parole.
Depuis, sous la pression internationale, des dizaines de fabriques de tapis ont été fermées par le gouvernement pakistanais, et les ventes de tapis ont baissé de plusieurs millions de dollars dans ce pays.
Iqbal n’a connu que deux ans de liberté. Rentré chez lui, au Pakistan, il a été assassiné le 16 avril 1995, à l’âge de 12 ans.