Sur la route de Mazouna
En voyant la grande plaque bleue sur l’autoroute où s’affichait le nom de Mazouna, il m’a semblé tout d’abord qu’il manquait quelque chose.
En dessous Oued R’hiou, s’étalait aussi en lettres blanches.
Et puis le déclic s’est fait ! il me manquait le FLE ! MazounaFle !
Dans mon subconscient ces trois petites lettres étaient devenues indissociables de Mazouna !
Ah ces paysages de l’ouest algérien ! Sobres et grandioses à la fois. Bien que l’autoroute soit d’une monotonie particulière , due sans doute à la direction rectiligne qu’elle semble s’être fixée dès notre départ d’Alger, les couleurs ocres, brunes, dorées, des terres fraîchement moissonnées ou retournées, vous enchantent tout le long du voyage.
Les arbres semblent presque s’excuser d’être encore verts , et, un peu confus d’absorber l’eau sous cette chaleur de juillet, ils tentent d’atténuer un peu l'éclat de leur feuillage.
Telles des peintures , les parcelles de terres offrent au regard, des teintes et des nuances que ne sauraient reproduire le plus émérite des artistes. Sur le chocolat des champs labourés, des trainées de paille,échappées des bottes de foin, irisent de leur or précieux ces tapis bruns, brûlés par le soleil.
Les eaux de Oued R’hiou , incroyablement bleues, irrésistiblement attirantes, étincellent telles un mirage en cette journée étouffante.
Même la route, sous ce soleil brûlant, semble s’être transformée en une rivière où le reflet des voitures vient vous prouver à quel point ce que nos yeux perçoivent n’est pas forcément réel !
Promis , juré, dès que j’aurais appris à le faire (j’avoue mon ignorance) je vous mets en ligne des photos de ces paysages prises cet été.
Oum_Zaki
En voyant la grande plaque bleue sur l’autoroute où s’affichait le nom de Mazouna, il m’a semblé tout d’abord qu’il manquait quelque chose.
En dessous Oued R’hiou, s’étalait aussi en lettres blanches.
Et puis le déclic s’est fait ! il me manquait le FLE ! MazounaFle !
Dans mon subconscient ces trois petites lettres étaient devenues indissociables de Mazouna !
Ah ces paysages de l’ouest algérien ! Sobres et grandioses à la fois. Bien que l’autoroute soit d’une monotonie particulière , due sans doute à la direction rectiligne qu’elle semble s’être fixée dès notre départ d’Alger, les couleurs ocres, brunes, dorées, des terres fraîchement moissonnées ou retournées, vous enchantent tout le long du voyage.
Les arbres semblent presque s’excuser d’être encore verts , et, un peu confus d’absorber l’eau sous cette chaleur de juillet, ils tentent d’atténuer un peu l'éclat de leur feuillage.
Telles des peintures , les parcelles de terres offrent au regard, des teintes et des nuances que ne sauraient reproduire le plus émérite des artistes. Sur le chocolat des champs labourés, des trainées de paille,échappées des bottes de foin, irisent de leur or précieux ces tapis bruns, brûlés par le soleil.
Les eaux de Oued R’hiou , incroyablement bleues, irrésistiblement attirantes, étincellent telles un mirage en cette journée étouffante.
Même la route, sous ce soleil brûlant, semble s’être transformée en une rivière où le reflet des voitures vient vous prouver à quel point ce que nos yeux perçoivent n’est pas forcément réel !
Promis , juré, dès que j’aurais appris à le faire (j’avoue mon ignorance) je vous mets en ligne des photos de ces paysages prises cet été.
Oum_Zaki