Jeu 10 Fév 2022 - 20:54 par kadermaz
légende du volcan Pelée(Légende de la Martinique)
Le 8 mai 1902 dans l'île de la Martinique, le volcan de la Montagne Pelée entra en éruption. En trois minutes, toute la ville et toute la population de Saint-Pierre furent anéanties. Plus de 30 000 personnes perdirent la vie au même instant. Année après année la ville de Saint-Pierre s'est remise peu à peu de cette terrible catastrophe. La vie s'y est à nouveau réorganisée mais le volcan de la Montagne Pelée surplombe toujours la ville et plusieurs fois par jour, chaque habitant
le regarde un instant et s'interroge : explosera-t-il à nouveau et quand ?
Un très très vieux grand-père m'a raconté une légende à ce sujet, il la tenait
lui-même de son grand-père. La voici et revenons ensemble à ce jour terrible
du 8 mai 1902 à Saint-Pierre de la Martinique.
Tout le monde est heureux en ce beau dimanche matin dans la famille de Philomène. En effet, c’est aujourd’hui que Philomène fête ses 18 ans. Ce n’est toutefois pas le grand, le très grand bonheur, ces jours derniers de grosses inquiétudes ont bouleversé la vie de la plus belle ville de la Martinique, on l’appelle d’ailleurs le petit Paris. Et oui, la Montagne Pelée qui domine la ville est un très imposant volcan qui, depuis plusieurs semaines, fume et crache son trop plein d’énergie. Jusqu’à la semaine dernière, chacun pensait qu’après quelques rots de gros bébé, le volcan se rendormirait bien sagement comme il l’avait déjà fait cinquante années plus tôt. Mais depuis cinq jours, les évènements se sont précipités, toute la région est grise et recouverte de plusieurs centimètres de cendres crachées directement par les soubresauts du volcan.
Pratiquement tous les habitants du Prêcheur, un village plus au Nord,
se sont réfugiés à Saint Pierre, leurs maisons sont complètement recouvertes de cendres grises. L’usine Guérin, juste à la sortie de la ville de Saint-Pierre a été entièrement détruite par une puissante coulée de boue et de lave. Tout le monde est choqué par ce drame mais c’est dimanche, il fait très beau et surtout c’est l’anniversaire de Philomène, 18 ans ça se fête et la pendule du salon, cœur de la maison, égraine chaque seconde de ce bon moment...
La légende du volcan Pelée
Il y a très longtemps, au nord de la Martinique, existait un volcan qui terrorisait les habitants d’un petit village au pied du volcan.
Pourquoi terrorisait-il ce petit village? Dans ce temps-là, ils ne pensaient pas que les éruptions volcaniques étaient des phénomènes naturels. Les habitants croyaient que c’était un dieu qui était en colère. Et pour le satisfaire, ils ont commencé à sacrifier des habitants.
Un jour, ce fut le tour de Pelée, un jeune garçon de 16 ans. Lui, il n’a jamais approuvé la méthode du chef. Le chef sacrifiait des habitants pour calmer la colère du dieu, parce que c’était une période très active pour le volcan.
L’exécution de Pelée était prévue 1 semaine plus tard. Pendant 6 jours, il essaya de trouver une solution mais en vain. Le jour de l’exécution arriva très rapidement. Très triste de quitter ses parents et ses amis, il promit que ce serait le dernier sacrifice et que le Dieu volcan ne serait plus en colère.
Deux vaillants guerriers accompagnèrent Pelée jusqu’en haut du volcan puis ils le laissèrent seul. Avant de sauter dans le volcan, il se mit à genoux et pria. Tout à coup, une petite secousse propulsa Pelée dans le volcan.
Et c’est depuis ce temps que le volcan porte le nom de Pelée. Le chef arrêta de sacrifier des habitants et ils vécurent tous heureux.
Gabriel Zimmer
Texte :2ème AM (la légende )
Loin, loin, en Laponie, là ou il fait froid toute l’année, vivait une très pauvre femme. Elle avait quatre enfants désobéissants et très méchants qui ne songeaient qu’à courir et à jouer du matin au soir.
Ils rentraient souvent trempés, avec des mottes de neige collées à leurs bottes .Et la pauvre mère devait balayer, essuyer, faire sécher leurs vêtements .Jamais ils ne lui apportaient le bois pour son feu, ni l’eau pour faire la soupe .La pauvre femme peinait et se fatiguait sans cesse. Et un jour, elle tomba malade .Couchée dans la yourte, elle appelle ses enfants : « Enfants, donnez-moi à boire .Allez chercher un peu d’eau, je vous prie ».
Mais les enfants n’écoutent pas et continuent à jouer .Puis l’ainé eut faim et retourna à la yourte .Et là, il vit sa mère, transformée en oiseau. Elle bat des ailes puis s’envole .Les enfants courent derrière leur mère et l’appellent : « Attends, mère attends ! Nous te porterons de l’eau. »
Mais la mère répond : « Coucou ! Coucou ! Je n’ai plus besoin de vous ! Lacs et rivières m’offrent leur eau. »
Longtemps, les enfants coururent appelant leur mère, mais il était trop tard .Et c’est depuis ce temps, on, chez les lapons, que le coucou ne se construit pas de nid et n’élève pas ses petits.
NATHA CAPUTO « la légende du coucou »
Le 8 mai 1902 dans l'île de la Martinique, le volcan de la Montagne Pelée entra en éruption. En trois minutes, toute la ville et toute la population de Saint-Pierre furent anéanties. Plus de 30 000 personnes perdirent la vie au même instant. Année après année la ville de Saint-Pierre s'est remise peu à peu de cette terrible catastrophe. La vie s'y est à nouveau réorganisée mais le volcan de la Montagne Pelée surplombe toujours la ville et plusieurs fois par jour, chaque habitant
le regarde un instant et s'interroge : explosera-t-il à nouveau et quand ?
Un très très vieux grand-père m'a raconté une légende à ce sujet, il la tenait
lui-même de son grand-père. La voici et revenons ensemble à ce jour terrible
du 8 mai 1902 à Saint-Pierre de la Martinique.
Tout le monde est heureux en ce beau dimanche matin dans la famille de Philomène. En effet, c’est aujourd’hui que Philomène fête ses 18 ans. Ce n’est toutefois pas le grand, le très grand bonheur, ces jours derniers de grosses inquiétudes ont bouleversé la vie de la plus belle ville de la Martinique, on l’appelle d’ailleurs le petit Paris. Et oui, la Montagne Pelée qui domine la ville est un très imposant volcan qui, depuis plusieurs semaines, fume et crache son trop plein d’énergie. Jusqu’à la semaine dernière, chacun pensait qu’après quelques rots de gros bébé, le volcan se rendormirait bien sagement comme il l’avait déjà fait cinquante années plus tôt. Mais depuis cinq jours, les évènements se sont précipités, toute la région est grise et recouverte de plusieurs centimètres de cendres crachées directement par les soubresauts du volcan.
Pratiquement tous les habitants du Prêcheur, un village plus au Nord,
se sont réfugiés à Saint Pierre, leurs maisons sont complètement recouvertes de cendres grises. L’usine Guérin, juste à la sortie de la ville de Saint-Pierre a été entièrement détruite par une puissante coulée de boue et de lave. Tout le monde est choqué par ce drame mais c’est dimanche, il fait très beau et surtout c’est l’anniversaire de Philomène, 18 ans ça se fête et la pendule du salon, cœur de la maison, égraine chaque seconde de ce bon moment...
La légende du volcan Pelée
Il y a très longtemps, au nord de la Martinique, existait un volcan qui terrorisait les habitants d’un petit village au pied du volcan.
Pourquoi terrorisait-il ce petit village? Dans ce temps-là, ils ne pensaient pas que les éruptions volcaniques étaient des phénomènes naturels. Les habitants croyaient que c’était un dieu qui était en colère. Et pour le satisfaire, ils ont commencé à sacrifier des habitants.
Un jour, ce fut le tour de Pelée, un jeune garçon de 16 ans. Lui, il n’a jamais approuvé la méthode du chef. Le chef sacrifiait des habitants pour calmer la colère du dieu, parce que c’était une période très active pour le volcan.
L’exécution de Pelée était prévue 1 semaine plus tard. Pendant 6 jours, il essaya de trouver une solution mais en vain. Le jour de l’exécution arriva très rapidement. Très triste de quitter ses parents et ses amis, il promit que ce serait le dernier sacrifice et que le Dieu volcan ne serait plus en colère.
Deux vaillants guerriers accompagnèrent Pelée jusqu’en haut du volcan puis ils le laissèrent seul. Avant de sauter dans le volcan, il se mit à genoux et pria. Tout à coup, une petite secousse propulsa Pelée dans le volcan.
Et c’est depuis ce temps que le volcan porte le nom de Pelée. Le chef arrêta de sacrifier des habitants et ils vécurent tous heureux.
Gabriel Zimmer
Texte :2ème AM (la légende )
Loin, loin, en Laponie, là ou il fait froid toute l’année, vivait une très pauvre femme. Elle avait quatre enfants désobéissants et très méchants qui ne songeaient qu’à courir et à jouer du matin au soir.
Ils rentraient souvent trempés, avec des mottes de neige collées à leurs bottes .Et la pauvre mère devait balayer, essuyer, faire sécher leurs vêtements .Jamais ils ne lui apportaient le bois pour son feu, ni l’eau pour faire la soupe .La pauvre femme peinait et se fatiguait sans cesse. Et un jour, elle tomba malade .Couchée dans la yourte, elle appelle ses enfants : « Enfants, donnez-moi à boire .Allez chercher un peu d’eau, je vous prie ».
Mais les enfants n’écoutent pas et continuent à jouer .Puis l’ainé eut faim et retourna à la yourte .Et là, il vit sa mère, transformée en oiseau. Elle bat des ailes puis s’envole .Les enfants courent derrière leur mère et l’appellent : « Attends, mère attends ! Nous te porterons de l’eau. »
Mais la mère répond : « Coucou ! Coucou ! Je n’ai plus besoin de vous ! Lacs et rivières m’offrent leur eau. »
Longtemps, les enfants coururent appelant leur mère, mais il était trop tard .Et c’est depuis ce temps, on, chez les lapons, que le coucou ne se construit pas de nid et n’élève pas ses petits.
NATHA CAPUTO « la légende du coucou »