"birr el walidine" la piété filiale

Je ne me lasserai jamais de regarder ce clip et à chaque fois je ressens la même émotion. Et à chaque fois que je vois un moineau dehors je repense à cet homme âgé et à son fils.
Profitez de vos parents , de leur présence, aimez- les, dites leur que vous les aimez, remerciez-les , embrassez-les, faites- les sourire, choyez- les tant qu'ils sont près de vous.
Et s'ils ne sont plus, implorez sans cesse le Tout Clément, le très Miséricordieux pour eux.

Quelles émotions !!!Qui pourrait résister ?........à la vue de cette VDO ,......les larmes coulent ,sans le savoir ,ni le vouloir ?En guise de reconnaissance....envers eux ou l'un d'eux .....je leur dédie ceci :

(Papa)
« Quand ton père a parlé, sans murmure obéis ;
Car, devant Dieu, le père est au-dessus du fils.
C’est de lui que tu tiens la vie et la parole ;
De toute autorité qu’il te soit le symbole ;
Va, s’il te dit d’aller ; et viens, s’il te dit : « Viens. »
Mets ton cou sous sa main, mets tes pieds sur les siens ;
Comme celle de Dieu, redoute sa colère ;
Sers-le jusqu’au tombeau, serviteur sans salaire ;
D’une piété tendre honore ses vieux ans,
Ta bénédiction est dans ses cheveux blancs ;
Et quand il s’en ira dans la sombre demeure,
Prends sa place au soleil, baisse la tête et pleure !
parlé« Quand ton père a , sans murmure obéis ;
Car, devant Dieu, le père est au-dessus du fils.
C’est de lui que tu tiens la vie et la parole ;
De toute autorité qu’il te soit le symbole ;
Va, s’il te dit d’aller ; et viens, s’il te dit : « Viens. »
Mets ton cou sous sa main, mets tes pieds sur les siens ;
Comme celle de Dieu, redoute sa colère ;
Sers-le jusqu’au tombeau, serviteur sans salaire ;
D’une piété tendre honore ses vieux ans,
Ta bénédiction est dans ses cheveux blancs ;
Et quand il s’en ira dans la sombre demeure,
Prends sa place au soleil, baisse la tête et pleure
Lamartine

Chers collègues :je ne peux pas dédier un poème au père sans faire autant pour la mère ,en voilà le sien: ,dégustez,SVP:

(maman)

Depuis le jour ou je suis née
Tu n'as pas cesser de m'aimer
Mais c'est pareil pour moi
Je ne peux pas vivre sans toi.
Imagine que mon coeur, c'est l'espace
Et il y a plein de place
Et tout ça, c'est rien que pour toi
Pour que je te garde tout près de moi.
Tu es le soleil qui illumine ma vie
Tu es la lune qui éclaire mes nuits
Afin qu'il n'y ait pas d'ombre sur mon chemin
Et que je vive bien.
Tu es mon diamant
Tout en argent
Tu es mon trésor
Tout en or
Tu es la pierre la plus précieuse
Celle qui est la plus merveilleuse
Celle qui est la plus bleue
Et qui fait briller mes yeux.
Je pourrais réunir tous les éléments de la Terre
Afin de te construire ton univers
Celui qui te fait rêver
Avec tes enfants à tes côtés.
Je pourrais ramasser toutes les pétales de roses
Pour te créer un bouquet grandiose.
Je pourrais réunir tous les dieux
Afin qu'ils exaucent tes voeux.
Maman,sache que je ne pourrais cesser de t'aimer
Tu es ma maman tant adorée.
Ils passent les jours,
Mais ne passe pas mon amour

Poème de Camille M.

Oumouk, oumouk, oumouk et puis abouk.
Encore vivante, beaucoup ne lui accordent que peu de respect, de considération ou d'amour. Demandons à l'orphelin de mère ce qu'il pense, ce qu'il ressent à la perte de cet être qui nous est cher, très cher.
J'ai lu ce passage qui m'a énormément ému.


A ma mère, …
Tu prends soudain conscience au fil du temps,
De ces années qui passent vitesse du vent.
Qu'importe ces rides sur un visage aussi charmant.
Tu es la plus douce, la plus belle des mamans.

Tu nous as étoffé de merveilleux souvenirs.
Une existence à se dévouer à nous faire plaisir,
Sans ménager tes éfforts devançant nos désirs.
Comment te dire, si ce n'est ; nous t'aimons maman.

Cachant tes souffrances au fond de ton coeur,
Fermant tes beaux yeux par humble pudeur,
Dissimulant sous un sourire ces tristes pleurs.
Tu es pour tes enfants la plus belle des fleurs.

Auprès de toi , nous tes enfants avons tout appris,
La volonté, l'honneteté, l'humilité, l'amour d'autrui.
Un trésor que, grâce à toi, nous possédons aujourd'hui.
Pour cela, bien plus encore, merci à toi, merci maman.

Nous écoutons avec respect tes paroles de sagesse,
Se réchauffant l'âme à ton volcan de tendresse,
De tes ptits bouts, de tes grands enfants.
Sache que nous t'aimons tous ...belle maman.

Source Internet: leçons de la vie. (Auteur anonyme)

oumouka, oumouka, oumouka et puis abouka

A mon père…
Derrière la robustesse,
Se cache la tendresse,
Une façade devant moi,
Un protecteur de ma vie, un défenseur de foi.
Tes mots parfois me blessent,
Mais ce sont des caresses.
Car tu vois en moi,
Le bébé qui naquit, le fruit de l’autre toi.
Entre tous,
De tous les hommes au monde,
Tu es le modèle de mon cœur,
Tu es le héros sans erreurs,
Et pourtant,
La perfection furibonde,
Malgré des drôles d’humeurs,
Malgré mes doutes et mes frayeurs.
C’est dans ton regard,
C’est dans ton soutien,
C’est dans tes longs discours,
Qu’à jamais, pour toujours,
Je vaincrais le blizzard,
J’affronterai les rudes matins,
Je te donnerai mon amour,
A jamais, pour toujours.
C’est pour t’honorer
Comme toi tu l’as souvent fait.
Que je t’adresse mes mots,
Mes mots un peu timides,
Je te souhaite, avec mon plus grand respect,

Avec ce que je peux créer
Une longue vie,
Que dieu te garde mon père

Source internet: leçons de la vie (auteur anonyme)

Bonjour Madame,
Le jour où ils sont partis, ma mère la première, il y a de cela presque vingt-ans, ensuite mon père l’année dernière, je ne m’en suis jamais remis.
Lorsque ma mère nous a quittés pour un monde meilleur, j’étais tellement désorienté que j’imaginais, pendant des jours et des jours, que tous les gens que je croisais dans la rue, rien qu’en regardant dans ma direction, savaient ce qui m’était arrivé, et sentaient que je souffrais ! Il me semblait qu’ils me pointaient du doigt en chuchotant : « Voyez, c’est celui qui a perdu sa mère ! »
J’étais complètement perdu lorsqu’elle fut partie.
Un jour, que je rentrais tard de l’école, je l’ai trouvée, attendant impatiemment mon retour, les yeux en larmes et la main sur le menton. J’étais très surpris et en même temps angoissé de la voir dans cet état. J’étais pourtant marié à l’époque ! Je l’ai serrée tendrement dans mes bras et je lui ai dit :
« N’aie pas peur, mère, je suis là ! » Elle me répondit : « Tu as tardé, mon fils ! »
Chaque fois que je sortais de la maison, elle me disait toujours cette phrase que ma femme a apprise, et qui me la répète, elle aussi, toutes les fois que je franchis le seuil de la porte: « RABI ESSAHEL! »
Merci Madame de m’avoir permis de replonger dans l’amour, le véritable amour qui m’a marqué, celui de mes défunts parents.
Cordialement kikidida.

Merci pour ces poèmes aussi beaux que touchants et sincères.
Kikidida, le jour où j'ai lu l'article où vous parliez de votre père sur un autre forum ( Allah yarrahmou), j'ai été plus qu'émue et je n'en ai rien oublié.
Que Dieu nous accorde la faveur de ressentir cette piété filiale envers nos parents et qu'Il l'enracine dans le coeur de nos enfants.