Bonjour à tous,
Voici une légende algérienne qui m’a beaucoup plu, et que je voudrais partager avec mes collègues. Celle-ci pourrait servir d’entame de la séquence 2, du projet 3, pour les classes de 2 AM.
Cordialement.
Le cimetière des deux princesses.
Dans la casbah, vivaient à l’époque ottoman, N’fissa et Fatma, Les deux filles du dey Hassan Pacha.
Au printemps de leur vie, elles rayonnaient de charme et de beauté. Elles étaient comme les doigts d’une seule main : unies et inséparables.
Un jour, leurs yeux croisèrent le regard d’un beau jeune homme. Le cœur des deux jeunes filles s’emballe.
Mais comme aucune d’entre-elles ne veut blesser l’autre, N’fissa et Fatma s’enferment dans un silence assourdissant.
A mesure que les jours passent, elles deviennent de plus en plus pâles. Refusant de se nourrir, les deux filles filles se consument comme deux bougies.
On ignore qui est la première à mourir, mais leur histoire jette l’émoi dans toute la Casbah.
« Que c’est triste de voir deux belles roses se faner au printemps de leur vie », murmure-t-on.
Les deux princesses sont enterrées à la rue N’fissa, à l’ombre de trois figuiers centenaires.
Voici une légende algérienne qui m’a beaucoup plu, et que je voudrais partager avec mes collègues. Celle-ci pourrait servir d’entame de la séquence 2, du projet 3, pour les classes de 2 AM.
Cordialement.
Le cimetière des deux princesses.
Dans la casbah, vivaient à l’époque ottoman, N’fissa et Fatma, Les deux filles du dey Hassan Pacha.
Au printemps de leur vie, elles rayonnaient de charme et de beauté. Elles étaient comme les doigts d’une seule main : unies et inséparables.
Un jour, leurs yeux croisèrent le regard d’un beau jeune homme. Le cœur des deux jeunes filles s’emballe.
Mais comme aucune d’entre-elles ne veut blesser l’autre, N’fissa et Fatma s’enferment dans un silence assourdissant.
A mesure que les jours passent, elles deviennent de plus en plus pâles. Refusant de se nourrir, les deux filles filles se consument comme deux bougies.
On ignore qui est la première à mourir, mais leur histoire jette l’émoi dans toute la Casbah.
« Que c’est triste de voir deux belles roses se faner au printemps de leur vie », murmure-t-on.
Les deux princesses sont enterrées à la rue N’fissa, à l’ombre de trois figuiers centenaires.