Quand corriger ?
Il est reconnu que la réponse à cette question dépend des facteurs tels que le niveau de compétence linguistique des apprenants et le type de tâches exigées. À ce propos, J.M. Hendrickson (1979) propose une hiérarchie qui, basée sur le niveau de compétence de l’apprenant, aide l’enseignant à orienter le choix des erreurs à corriger en général. En ce qui concerne le processus de la correction d’erreurs, J.M. Hendrickson (cité par Champagne-Muzar et Bourdages, 1993 : pp.80,81) suggère une correction selon trois niveaux de compétences :
- Au niveau élémentaire de compétence (ex : pour nous, il correspond aux niveaux A1 et A2 selon le CECRL), la correction devrait porter seulement sur les erreurs qui nuisent ou empêche la communication à l’écrit.
- Au niveau intermédiaire (ex : pour nous, il s’accorde aux niveaux B1 et B2 selon le CECRL), l’objectif de la correction d’erreurs devrait être les déviations les plus fréquentes.
- Au niveau avancé (ex : pour nous, il se rapporte aux niveaux C1 et C2 selon le CECRL), les efforts devraient plutôt porter sur les erreurs irritantes qui influences négativement l’intelligibilité du message. Les propositions de J.M. Hendrickson démontrent qu’il existe différentes possibilités d’évaluation des connaissances pour l’apprenant et l’enseignant
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Il est reconnu que la réponse à cette question dépend des facteurs tels que le niveau de compétence linguistique des apprenants et le type de tâches exigées. À ce propos, J.M. Hendrickson (1979) propose une hiérarchie qui, basée sur le niveau de compétence de l’apprenant, aide l’enseignant à orienter le choix des erreurs à corriger en général. En ce qui concerne le processus de la correction d’erreurs, J.M. Hendrickson (cité par Champagne-Muzar et Bourdages, 1993 : pp.80,81) suggère une correction selon trois niveaux de compétences :
- Au niveau élémentaire de compétence (ex : pour nous, il correspond aux niveaux A1 et A2 selon le CECRL), la correction devrait porter seulement sur les erreurs qui nuisent ou empêche la communication à l’écrit.
- Au niveau intermédiaire (ex : pour nous, il s’accorde aux niveaux B1 et B2 selon le CECRL), l’objectif de la correction d’erreurs devrait être les déviations les plus fréquentes.
- Au niveau avancé (ex : pour nous, il se rapporte aux niveaux C1 et C2 selon le CECRL), les efforts devraient plutôt porter sur les erreurs irritantes qui influences négativement l’intelligibilité du message. Les propositions de J.M. Hendrickson démontrent qu’il existe différentes possibilités d’évaluation des connaissances pour l’apprenant et l’enseignant
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